Deux femmes
dans la rue, vêtues de respiration et de peur, de café et d’image, de belle et de
tragique, de mesure et de démesure, glissent dans le quartier des bouches écrasées
qui fascinent l’impossible effondrement en gestes immobiles. Elles sentent qu’elles
sentent qu’elles savent. Colère et flamme.
haG
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire