Hilarant !
Aujourd’hui, c’est la journée des droits de la femme et la femme – selon les
informations – n’a jamais été autant harcelée, autant violée et autant
assassinée par son mari, son conjoint ou son compagnon. Et c’est hier –
aujourd’hui donc – que l’on relâche les deux violeurs policiers condamnés à 7
ans de prison au bout de 3 mois d’emprisonnement. On se fout vraiment de notre
gueule. Puisque la femme n’est pas écoutée dans les commissariats, c’est chez
Hanouna, chez Lemoine, chez Ardisson, c’est à la télévison qu’elle doit
immédiatement aller raconter la dégénérescence de l’homme dont elle s’est
laissée embobiner. Et si on apprenait aux femmes à ne plus attendre les
brutalités pour réagir, mais à fuir dès la moindre parole inconvenante. Si l’on
cessait de dire qu’il est normal qu’il y ait « quelques » fictions normales
entre l’homme et la femme lorsqu’ils s’aiment ? S’il y a la moindre
fiction, c'est qu'il n’y a rien, aucun lien et – sauf chez les marmottes – ça tourne
toujours très mal. Et puis il y a tout de même d’autres choses plus graves que
les tourments de la femme qui – je le rappelle – est majeure, généralement. Il y
a les enfants battus et violés dans leur famille, tous les jours, et tous les
jours en France – enfants mineurs, souvent bébés, qui ne peuvent se défendre -.
Vous avez vu cette famille – dans l’Isère, je crois – ou tout le monde s’est
acharné sexuellement sur trois petits enfants, pendant deux ans. Les dégénérés
viennent d’être arrêtés. Il était temps. Beau-papa - géniales toutes ces femmes
qui quittent leur mâle pour en prendre un autre bien pire -, maman, tata,
tonton, copines et copains étaient de la fête. Oui le monde est taré. La femme
aussi. L’homme aussi. Et la seule solution, c’est Freud. Je répète : la
SEULE solution, c’est FREUD à tous les niveaux. Ça vous dérange ? Je sais. Pas facile de se voir dans son propre miroir !
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