Et voilà que pour de nombreux
cerveaux vides, Mai 68 est la cause des « agissements » de Matzneff.
Mai 68 a été la seule révolution française avec celle de 1789 qui a été solide
et justifiée mais malheureusement avortée. Après 1789, un Empereur. Après 1968,
la poursuite du régime dictatorial de la Ve Monarchie. Les femmes de toutes
catégories m’insuportent. Elles exigent la remise en cause de la nature de l’homme
alors qu’elles ne se posent aucune question sur leur lâcheté. Au lieu de
geindre et de faire des procès, au lieu de se laisser humilier puis assassiner
par leur mari ou leur compagnon, il ne leur vient même pas à l’idée qu’elles doivent
agir pour le bien de leur condition : ne plus se marier, ne plus avoir d’enfant(s),
entamer une grève illimitée du sexe et des tâches ménagères tant que leur
salaire ne sera pas égal à celui de l’homme et tant que les femmes au foyer n’auront
pas un salaire versé par l’Etat qui leur permette de vivre seule et décemment, se
libérer totalement de l’homme et dans toutes les circonstances. Il n’y a aucune
loi qui oblige la femme à fréquenter l’homme et vice versa. D’ailleurs ces deux
être sont totalement incompatibles. Il est vrai qu’il y a pourtant une solution
que personne ne veut connaître. Le bébé qui sort du ventre maternel croule sous
le poids de je ne sais de combien de siècles de générations de tarés. Il faut
donc le détarer, le nettoyer et lui apporter sa pensée originelle. Et pour
cela, je me répète et je continue à affirmer qu’il n’y a que Dolto et Freud qui
aient la capacité d’assurer ce service après vente, si délicat et si compliqué.
Aucune loi de notre Ve Monarchie ne résoudra l’affaire. En attendant, j’attends
toujours l’arrestation de Mitterrand – le neveu – et Cohn Bendit, les pédophiles
invités dans les télés. Je redoute l’interdiction des ouvrages de Sade, l’interdiction
à la vente de « Histoire d’O » et « Emmanuelle » même si ce
sont deux monstrueux navets et je ne remercierai jamais assez le hasard qui m’a
fait naître – contre mon gré – à la fin de la dernière guerre, où j’ai connu
une enfance et adolescence de paix et de totale liberté. Je n’ai jamais eu de
parents. Je me suis forgé seul. Et j’en suis très fier. Merci de tout cœur à
mon professeur d’écriture musicale, Charles Montaland, qui m’a montré le chemin
et à Freud qui m’a aidé à le suivre et qui m’a sauvé de la vie de misère qui
est le lot de de notre société de tarés psychotiques, d’où je me suis extrait
en attendant la mort.
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