L’affaire Domingo m’inspirant
de telles horreurs sur la niaiserie, l’inconséquence, la perversité, la
méchanceté et le sadisme des femmes que je suis revenu de mon désert dans
lequel j’avais pourtant décidé de rester une éternité pour oublier les
excréments que je côtoie régulièrement dans ce monde de tarés. Domingo est
célébrissime, ultra-talentueux, hyper-séduisant et considérablement riche. Il
paraît donc bien normal qu’une dizaine de déséquilibrées tordues s’attaquent à
son intégrité en espérant faire la une de « Voici » et en espérant
toucher le gros lot devant les tribunaux. La seule accusatrice interviewée a
déclaré que Domingo disait bonjour à ses seins ! Pourquoi les lui a-t-elle
montrés ? Heureusement, j’ai lu des témoignages de bon sens. A
savoir :
L'Opéra de Valence, dans l'est du pays,
a annoncé qu'il maintenait pour le moment la participation du chanteur aux
quatre représentations de Nabucco de Verdi,
prévues à partir du 2 décembre prochain. L'institution dit vouloir attendre que
la justice rende « sa décision sur les faits pour
agir en conséquence et prendre une mesure appropriée, préservant ainsi la
présomption d'innocence ». L'Opéra de Valence précise n'avoir pas
reçu de plainte ni eu connaissance « d'aucune
sorte de harcèlement » à l'encontre de son propre personnel.
Le quotidien ABC a lui publié un éditorial en défense de Plácido
Domingo, soulignant qu'une seule des neuf femmes qui l'accusent a donné son
nom. « Il serait juste de respecter la présomption
d'innocence » a insisté le journal. L'agent artistique Aldo
Mariotti, proche de la défunte soprano espagnole Montserrat Caballé, a déclaré
qu'il était « stupéfait ». Interrogé par l'AFP,
il a déclaré : « Qu'il soit un grand séducteur,
tout le monde le savait, mais je doute vraiment qu'il ait pu faire une chose
pareille, il n'en avait aucun besoin. S'il allait dans la rue, les femmes
s'agenouillaient devant lui, il pouvait "avoir" les plus jolies
»
Plusieurs chanteuses lyriques
espagnoles ont également pris sa défense. La mezzo-soprano Maria Jose Suarez,
qui a chanté plusieurs fois à ses côtés, a déclaré au micro de la radio Cadena
Ser : « Ce que je vais dire ne pas plaire à beaucoup
de femmes, mais j'ai vu de très nombreuses femmes lui courir après. Si ces
dames qui l'accusent ont eu ces problèmes, ce n'est pas moi qui vais les
contredire, mais je ne l'ai jamais vu, jamais. Ce que j'ai vu, c'est qu'il est
aimable, que c'est un homme qui aime les femmes, comme moi j'aime les hommes,
et ça ne pose pas de problème ».
La soprano Pilar Jurado, présidente de
la Société espagnole des auteurs et éditeurs, a dépeint Plácido Domingo comme «
un parfait gentleman ». « Je ne me suis jamais sentie harcelée de ma vie, ni obligée à faire
quelque chose que je ne voulais pas » a-t-elle déclaré à l'agence
espagnole Europa Press. « Je n'ai jamais eu le moindre indice de ce dont on accuse le
"maestro" » a de son côté affirmé la soprano Davinia
Rodriguez, citée par la journal La Razon.
Ce quotidien a en quelque sorte reversé l'accusation, en titrant son
article : MeToo harcèle Plácido
Domingo. Une référence au mouvement lancé en 2017 par les
accusations d'agressions sexuelles contre le puissant producteur de cinéma
américain Harvey Weinstein.
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