jeudi 15 août 2019

vu à travers le tube • MeToo harcelle placido domingo...

L’affaire Domingo m’inspirant de telles horreurs sur la niaiserie, l’inconséquence, la perversité, la méchanceté et le sadisme des femmes que je suis revenu de mon désert dans lequel j’avais pourtant décidé de rester une éternité pour oublier les excréments que je côtoie régulièrement dans ce monde de tarés. Domingo est célébrissime, ultra-talentueux, hyper-séduisant et considérablement riche. Il paraît donc bien normal qu’une dizaine de déséquilibrées tordues s’attaquent à son intégrité en espérant faire la une de « Voici » et en espérant toucher le gros lot devant les tribunaux. La seule accusatrice interviewée a déclaré que Domingo disait bonjour à ses seins ! Pourquoi les lui a-t-elle montrés ? Heureusement, j’ai lu des témoignages de bon sens. A savoir :

L'Opéra de Valence, dans l'est du pays, a annoncé qu'il maintenait pour le moment la participation du chanteur aux quatre représentations de Nabucco de Verdi, prévues à partir du 2 décembre prochain. L'institution dit vouloir attendre que la justice rende « sa décision sur les faits pour agir en conséquence et prendre une mesure appropriée, préservant ainsi la présomption d'innocence ». L'Opéra de Valence précise n'avoir pas reçu de plainte ni eu connaissance « d'aucune sorte de harcèlement » à l'encontre de son propre personnel. 

Le quotidien ABC a lui publié un éditorial en défense de Plácido Domingo, soulignant qu'une seule des neuf femmes qui l'accusent a donné son nom. « Il serait juste de respecter la présomption d'innocence » a insisté le journal. L'agent artistique Aldo Mariotti, proche de la défunte soprano espagnole Montserrat Caballé, a déclaré qu'il était « stupéfait ». Interrogé par l'AFP, il a déclaré : « Qu'il soit un grand séducteur, tout le monde le savait, mais je doute vraiment qu'il ait pu faire une chose pareille, il n'en avait aucun besoin. S'il allait dans la rue, les femmes s'agenouillaient devant lui, il pouvait "avoir" les plus jolies »

Plusieurs chanteuses lyriques espagnoles ont également pris sa défense. La mezzo-soprano Maria Jose Suarez, qui a chanté plusieurs fois à ses côtés, a déclaré au micro de la radio Cadena Ser : « Ce que je vais dire ne pas plaire à beaucoup de femmes, mais j'ai vu de très nombreuses femmes lui courir après. Si ces dames qui l'accusent ont eu ces problèmes, ce n'est pas moi qui vais les contredire, mais je ne l'ai jamais vu, jamais. Ce que j'ai vu, c'est qu'il est aimable, que c'est un homme qui aime les femmes, comme moi j'aime les hommes, et ça ne pose pas de problème ».

La soprano Pilar Jurado, présidente de la Société espagnole des auteurs et éditeurs, a dépeint Plácido Domingo comme « un parfait gentleman ». « Je ne me suis jamais sentie harcelée de ma vie, ni obligée à faire quelque chose que je ne voulais pas » a-t-elle déclaré à l'agence espagnole Europa Press. « Je n'ai jamais eu le moindre indice de ce dont on accuse le "maestro" » a de son côté affirmé la soprano Davinia Rodriguez, citée par la journal La Razon. Ce quotidien a en quelque sorte reversé l'accusation, en titrant son article : MeToo harcèle Plácido Domingo. Une référence au mouvement lancé en 2017 par les accusations d'agressions sexuelles contre le puissant producteur de cinéma américain Harvey Weinstein. 

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