mardi 30 avril 2019

vu à travers le tube • la psychopathologie sexiste chiappaïste...


Schiappa est fière. 447 amendes depuis le vote de la pénalisation du harcèlement de rue par des godillots mous, rampants et flous qui lèchent le cul de l’enfant. Bien. La loi – toujours illégale – c’est la loi. Je sors du commissariat de mon quartier où je m’étais rendu pour porter plainte contre un petit millier de jeunes femmes pour harcèlement sexuel et plus envers ma personne par l’intermédiaire de Facebook. La policière de service m’a dit d’aller me faire foutre et m’a bien fait comprendre que si j’insistais elle me mettrait à l’ombre pour un certain temps. Je n’ai pas insisté ne voulant pas gâcher mon prochain voyage pour Berlin –Lohengrin -. En effet – et je ne crois pas être le seul -, il ne se passe pas une semaine sans qu’une dame ou une demoiselle ne vienne sur ma page FB pour me harceler : « Comment tu vas ? Comment tu t’appelles ? Tu es marié ? Tu as des enfants ? Moi je suis célibataire ou divorcée ! Moi j’ai un enfant ! Moi j’en ai pas ! Tu cherches quoi sur FB ? Moi je cherche un homme bon, gentil, courtois, serviable, servile, attentionné, travailleur, qui ne bois pas, qui ne fume pas, qui ne se drogue pas, qui fasse la vaisselle, qui passe le balai, qui cuisine des petits plats bien chauds ! As-tu Gmail ? Messenger c’est pas sûr ! Poste-moi ta photo !... etc... etc... etc... et j’en passe des plus croustillantes. En 15 ans – de Facebook – je n’ai eu qu’un homme – un seul qui m’a harcelé. Et Schiappa prétend que ce sont les hommes qui harcèlent ! C’est le monde à l’envers. Mesdames ou mesdemoiselles si vous avez encore l’intention de venir me faire chier, sachez que je vous emmerde et vous encule comme toutes les connasses que vous êtes. Pöint final !   

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