Maduro, le dictateur vénézuélien a été
élu comme beaucoup de dictateurs non déclarés officiellement, exactement comme
en France. D’où ma persistance pour condamner le vote – perversion et mensonge
assurés puisque l’élu est toujours minoritaire donc élu par défaut et élu
contre un soi-disant danger - qui peut mettre n’importe qui au pouvoir. Juste
avant l’enfant, il y a eu Trump le Rouquin. Avec cette race d’incapables et de
truands, on va dans le sens où l’on va : l’impossibilité d’inventer la
démocratie. Donc j’assume : je ne vote pas. Je reste fidèle à mon reflet
dans mon miroir et je n’ai pas honte de m’exprimer parce que l’abstention est
le SEUL moyen de lutter contre le système qui nous mène dans le trou noir, sans
espoir de retour. Maduro ayant été élu « démocratiquement » - c’est le
mot employé – de quoi se mêlent le Rouquin et l’enfant pervers conditionné par
l’ordinateur de sa maman ? L’enfant capricieux ne devrait-il pas regarder
devant sa porte avant de juger le tas d’ordures qui est placé devant celle de
ses voisins ? N’y a-t-il pas suffisamment de détresse et de malheur dans
notre pays ? Que l’impossible roitelet pervers commence par s’occuper de
son peuple en se tirant à toute vitesse pour que celui-ci tente – une fois
encore, s’il l’a déjà tenté - d’inventer cette démocratie dont on parle depuis
des siècles !
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