Vendredi 4 septembre 2020, 10h16 : « Vous allez juger des hommes dont vous ne voyez pas le visage ! » Voilà comment se déroule aujourd’hui, en France un des procès les plus important du terrorisme. Et tous les protagonistes portent muselière. Bêtise, incompétence, scandale… Corne à Virus rit aux éclats !
Mozart était assis tranquillement à sa table de travail occupé à composer des airs pour sa flûte à bec en bois enchanté quand on frappa à la porte. Il ouvrit et découvrit un homme tout noir, tout habillé en noir, le visage caché entièrement par un masque noir sous un large chapeau noir. « Laisse ta flûte mon fils et tisse pour moi un Requiem pour le jour de ma mort. Je te payerai largement. Ainsi soit-il… » Mozart fut bouleversé et se dit que quand un homme cache son visage ce ne peut être que le signe d’une incivilité, d’une malhonnêteté, d’un coup fourré. Etait-ce vraiment son père qui s’était insurgé dans sa vie privée ? Quelle honte se cachait donc derrière ce masque barbare signe du temps des larbins ? Epuisé par l’alcool, les femmes et les soucis d’argent, il apposa les premières notes sur le parchemin. Il n’eut pas la force d’écrire les dernières. Il mourut. Ses dernières paroles furent pour son épouse : « Chérie ! Le masque ! Qui était le monstre caché derrière le masque ? Est-il possible que ce soit mon père venu me poignarder par ce Requiem inachevé ? »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire