Corne à Virus n’est pas allé au Puy du Fou. Le dictateur fasciste, De Villiers, lui a fait passer son chemin. De Villiers : UN HEROS !
Moi, je suis allé à Lausanne en Suisse. J’en reviens à l’instant. Aucun masque dans la rue. Aucun masque à l’hôtel. Aucun masque au restaurant de l’hôtel. Une journée et un peu plus sans avoir entendu le mot « Corne à Virus » et sans avoir remarqué le moindre départ d’hystérie collective. Hier, le 15 août, n’était pas un jour férié. Là-bas, on n’était pas en congé pour honorer l’hystérique Marie, mariée à un charpentier qui n’a jamais réussi à la dépuceler et qui, vierge, a copulé avec un ange qui l’a laissée et abandonnée dans son état pitoyable de vierge tout en réussissant le tour de magie de lui planter et planquer un enfant dans le ventre qui sera plus tard un charlatan hypnotiseur qui connaîtra la gloire - encore plus que Johnny et Alagna - en se faisant clouer sur un croix et en faisant semblant d’être mort.
Putain ! Que les français sont cons ! Immensément…
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