samedi 8 août 2020

vu à travers le tube • misère… misère… misère…

Vous avez sans doute remarqué cet acharnement contre le pouvoir libanais depuis la boum-explosion récente à Beyrouth, pouvoir insulté et méprisé par le monde entier parce que corrompu soi-disant. Ah bon ? Connaissez-vous un pouvoir - à tous les échelons - qui ne soit pas corrompu ? La corruption, c’est le propre du pouvoir. Comme m’a toujours dit ma grand-mère qui est morte il y a cent-dix ans : « Balaye devant ta porte avant de critiquer les détritus qui bouchent la porte de ta voisine, mon enfant ! »

 

Le port de la muselière obligatoire en plein air et sous le soleil d’été et de Satan, décrété par les maires sataniques et corrompus - comme tous les gens de pouvoir - s’étend dangereusement. Si les français ne se décident pas à prendre leur destin en main, nous allons tous nous retrouver comme des chiens muselés avec colliers et laisses, à danser les jours de marché au son des tambourins.

 

C’est tout pour ce matin. Le monde poursuit sa chute et c’est une excellente idée. Jusqu’à ce jour, jamais personne n’a pu résoudre l’énigme. A quoi sert-il ? A quoi sert la vie ? J’ai beau faire tourner mes neurones dans tous les sens, je ne vois pas. Et je vois moins encore quand je vois ce que je vois sur cette terre. La misère. La misère. Rien que la misère. La misère des pensées. La misère des corps. La misère des chemins sur lesquels nous avons été expulsés.

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