En 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex. 25 de plus qu’en 2018. Quand les femmes cesseront donc-t-elles de s’engager dans la vie de couple tant qu’elles et leur compagnon n’auront pas fait une thérapie psychanalytique freudienne individuelle ? Je persiste et signe alors qu’on me prend pour un fou - ce dont je me fous - : sans analyse, sans Freud, la relation est, a toujours été et sera toujours mensonges et illusions. Vivre avec l’autre, c’est aussi difficile que de vivre avec soi-même. On ne peut vivre pleinement qu’avec ce que l’on connaît. Et tout commence par la connaissance de soi-même. Par l’analyse freudienne qui ouvre la porte de notre inconscient, maître absolu de nos pensées et agissements. Ce déni de la psychanalyse gonfle encore les chiffres : 146 femmes tuées… et c’est loin d’être fini. Ce n’est pas l’interdit et la sanction qui résolvent les problèmes. C’est l’exploration de la pensée et l’ouverture des portes intérieures qui donnent sur la lumière et la vérité. Le plus dangereux sur cette pauvre terre, c’est la famille et sa multiplication par la copulation et c’est d’autant plus dangereux que d’autres dangers - ignorance, religion, politique - s’ajoutent à cette maladie. A force de se réchauffer - et l’homme n’y peut rien - le monde finira bien par exploser et ce sera la chose la plus excellente qui puisse lui arriver.
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