vendredi 31 juillet 2020

vu à travers le tube • la violence légitime de la police de darmanin…

Darmanin, le godillot de l’Intérieur, affirme que la police exerce une violence légitime. Moi - et ma parole est toute aussi importante que celle de Darmanin -, j’affirme que si la violence policière est légitime, la violence est un acte légitime que tout le monde peut utiliser à sa guise. Une société qui ne parle que de répression, qui n’agit que par répression, qui est incapable d’obtenir un consensus par l’explication et le dialogue est une société qui entraine tout le monde dans la violence verbale et physique. Et c’est le cas depuis que le monde existe. Et c’est pourquoi voter pour nommer des Rois à tous les étages est un acte criminel qui n’amène que souffrance, haine et mort.

 

Êtes-vous au courant de la dernière farce des français ? Ils ont encore été sondés. Et de leurs propres aveux - selon la sonde - Ils sont 50% à plébisciter le Roi de France et 56% à plébisciter le 1e Ministre Godillot. Quand je vous dis que Roi Emmanuel sera réélu sans problème et que les français lui donneront le champ libre pour officialiser la dictature en place depuis longtemps. Le danger dominant n’est ni Corne à Virus, ni la canicule, ni le réchauffement climatique qui n’est qu’une évolution normale de la terre - évolution bien aidée et bien accompagnée par ces gros connards d’humains -, le danger dominant est le glissement de plus en plus perceptible de tous les pays de ce pauvre monde vers la dictature, avec aucun retour en arrière possible. Ça vous va ? Vous êtes contents ?

 

Le co-voiturage est reparti. Aujourd’hui, vous allez laisser prendre place dans votre voiture des inconnus masqués. Il n’y a pas si longtemps, lorsque des individus masqués s’approchaient des diligences - moyen de transport qui a précédé l’auto mobile - on leur tirait quelques balles dans le cul. Ainsi, ils mourraient ou ils se sauvaient comme des lapins. Il n’y a pas si longtemps, on avait le sens du danger et on attendait pas la police pour se protéger. C’était un monde différent, semblable en tous points à celui d’aujourd’hui.  

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