Les inquisiteurs de la
monarchie macronienne n’aiment pas les visages parce qu’ils les confondent avec
la peur de leur propre visage. Pourtant déjà masqué dès la naissance, le
faux-culage étant le propre de l’homme, masquer le masque d’un visage est
condamner à mort le visage authentique que jamais personne n’a jamais pu voir
puisque même ignoré de son propriétaire en personne. Et, cerise pourrie sur le
gâteau avarié, le masque sur le masque est non seulement imposé par la loi
scélérate - toutes les lois sont scélérates - mais, de plus, réclamé par le
peuple qui ne souhaite que se cacher derrière le masque se son masque et disparaître
dans les tréfonds. Ce sont des peuples que viennent les dictatures. Ce sont des
peuples que les dictatures perdurent et progressent. Ce sont des peuples que
les nouvelles dictatures apparaissent. Quand on voit le peuple de France tendre
le cou pour que le bourreau puisse le trancher à son aise, on ne peut que
penser que le monde de l’homme est bien sur sa fin. Mais qu’est-ce qui peut
bien vous faire si peur dans ce banal virus, vous qui voyez chaque jour des milliers
d’enfants, de femmes et d’hommes mourir dans la misère, mourir dans l’alcool,
mourir dans la drogue, mourir sur les routes, mourir dans les guerres - de religions
presque toujours -, mourir de cancers et autres maladies, mourir d’ennui,
mourir de ne jamais avoir vécu. Corne à Virus n’est qu’une péripétie comme les
autres qui ne mérite pas toute cette attention. Cette attention n’est que la
provocation d’un pouvoir à bout de souffle qui veut reprendre les commandes et
vous faire danser comme le fait si bien le marionnettiste avec ses jouets pendus
au bout de ses ficelles. Il vous reste peu de temps à vivre alors que vous êtes
mort. Mais si vous avez eu la capacité de vous donner la vie, profitez de vos
derniers instants. Profitez de tous les plaisirs de la vie, surtout s’ils ne
sont pas inscrits dans les lois des pervers que vous avez mis au pouvoir.
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