lundi 27 juillet 2020

vu à travers le tube • homme/femme, la poisse…


C’est la loi bioéthique et ses diverses procréations que le Roi de France a choisi de passer en papotage à l’Assemblé juste avant les vacances et qui ne sera donc pas votée puisqu’elle n’aura pas le temps de faire l’aller-retour avec le Sénat. Je n’ai pas d’avis sur cette chose parce que tout ce que veut la femme est contraire à ce qu’on m’a appris il y a 76 ans. On m’a appris qu’un enfant ne pouvait être fabriqué que si l’homme pouvait introduire son pénis dans le vagin de la femme et déverser une substance miracle qui allait l’ensemencer et faire apparaître un noyau de bébé. Aujourd’hui, tout cela est périmé. La femme veut avoir un bébé sans approcher un homme. Elle peut le concevoir dans son intérieur ou l’acheter au marché. J’ignore pourquoi plus personne ne veut agir selon les lois de la nature. Mon cerisier, qui a plus de 150 ans, pond des petits cerisiers chaque année en laissant choir ses cerises usagées sur le sol qui prend en charge le noyau - de cerise - et l’aide à la pousse de petits bébés cerisiers.

Les femmes veulent la peau de Darmanin, encore un homme, donc encore un salaud qui aurait encore violé une femme. Je répète - et je le répèterai jusqu’à mon dernier souffle - que dans une relation à deux il y a TOUJOURS deux coupables et coupables tous deux à 100% chacun. Pour celles et ceux qui ont envie de m’insulter, lisez ou mieux, consultez Freud et vous comprendrez. La relation homme/femme est devenue une relation de culpabilité parce qu’être deux - ce qui veut dire quatre - s’apprend, se réfléchit et ne se réalise qu’en pleine conscience et connaissance. Qui a appris la relation à deux ? Personne ou si peu. Une fois encore - je me répète encore -, c’est chez Freud que vous pourrez l’apprendre. Aussi, sans cette connaissance indispensable, madame et monsieur, évitez de vous croiser et rester seul(e), chez vous, bien enfermé(e) à clé.

Bon. Je sors. Je vais chez Leclerc prendre mon café. Là-bas il y a beaucoup de masques qui dansent. C’est chouette un café matinal au son du grand Verdi !         

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