vendredi 24 juillet 2020

vu à travers le tube • écolos et féministes dégénérés…

« J’ai 64 ans, une vie de famille épanouie et de nombreux engagements culturels, politiques et associatifs, et n’ai nullement envie de pourrir ma vie plus longtemps et de m’emmerder à me justifier en permanence pour quelque chose qui n’existe pas ». Ainsi a très justement répondu l’adjoint à la Culture à la mairie de Paris aux inexorables dégénérés élus écologistes et manifestantes féministes qui l’accusent d’avoir connu un certain Matzneff qui aurait couché avec une certaine Springora alors mineure entre 1986 et 1987, il y a 34 ans. Honte aux écolos ! Honte aux féministes ! Ces tarés ne savent plus à quoi se raccrocher pour prendre le pouvoir et faire bien pire que les pires des abrutis qui gouvernent le monde, élus ou pas. Jamais la cause féminine ne sera réglée par de tels agissements relevant de l’ordure. Elle pourra se régler en commençant au commencement, au moment où l’enfant est dans le ventre de sa mère, moment propice à l’éveil de son cerveau vers le respect de son identité personnelle. C’est en le dé-fabriquant pour procéder à sa reconstitution par lui-même après lui avoir indiqué le meilleur chemin à suivre, celui de la construction de la pensée, celui de l’indépendance et de la liberté, celui que Freud a prescrit dans ses thérapies psychanalytiques, que l’enfant deviendra adulte authentique et sera en capacité de distinguer entre ses pulsions et ses désirs nécessaires à sa marche vers la lumière. Les imbéciles cités plus haut réclament vengeance et châtiment alors que s’ils pensaient, ils réclameraient la suprématie du soi sur la société des larves gisantes soumises aux Dieux et aux Rois. La société est gravement malade et c’est des millions de fois plus grave que ce pauvre Corne à Virus. Mais la société est sourde et aveugle. L’avenir reste le trou noir. Et ceux qui ont envi que ce soit autrement sont si rares que je ne vois pas comment il serait possible de changer le destin du monde. Dans la crasse naît le crapaud baveux à deux pattes, dans la crasse il mourra. 

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