Dans notre monarchie totalitaire, la dictature étend ses ailes
progressivement et sûrement. Les députés sont prêts à voter, le 17 juin, la
prolongation de l’Etat d’urgence sanitaire prolongeant ainsi les pouvoirs
exceptionnels du Roi de France qui n’a pas besoin de ce gadget pervers pour
continuer à régner en maître absolu comme l’ont fait ses prédécesseurs
criminels Charlemagne ou autres Charles, Louis XiV ou autres Louis, Napoléon ou
autres Bonaparte. Et le peuple - en partie heureusement - continue toujours de
voter alors que voter c’est désigner son bourreau.
La police doit changer de métier… et en urgence. Mare de ces gens
en armure qui frappent à tout va, qui mutilent et qui tuent ceux qui ne veulent
plus être des soumis limaces rampantes et bien obéissantes. Mare de l’ordre et
de la loi. Mare des Rois et des godillots lèche-culs, mare de cette convenance
puérile et perverse qui s’appuie sur l’horreur du « aimez-vous les uns les
autres » qui ne peut amener qu’aux orgies - moment de jouissance extrême
mais éphémère qui laisse un goût amer… après) -. La police doit se créer un
nouveau métier, celui de comprendre, de protéger et d’accompagner ceux qui sont
dans la difficulté. Pour cela elle n’a nullement besoin de sortir dans la rue,
armée et costumée, comme dans un opéra de Bellini. La police doit former ses
policiers à la psychologie, à la psychanalyse, et non au maniement des armes, à
la compréhension des pensées et non à la haine de ce qui respire. Voilà une réforme
à entreprendre et qui doit prendre sa place parmi tout ce qui est à revoir dans
notre société. Et comme dans notre société TOUT est à revoir, je vous souhaite
bon courage. Moi je vous quitte. Je suis en âge de mourir. Je suis né pour ça.
Rien que pour ça.
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