mercredi 10 juin 2020

vu à travers le tube • le noir absolu…


Après le précambrien, le paléozoïque (ou ère primaire), le mésozoïque (ou ère secondaire), l'ère cénozoïque (tertiaire et quaternaire) nous venons d’entrer dans l’ère sanitaire où nous ne sommes plus que des corps manipulés par la médecine qui a pris le pouvoir totalitaire afin de raffiner les futurs robots de demain qui très bientôt remplaceront l’homme avec une facilité déconcertante puisque l’homme a abandonné son esprit, son cerveau, sa pensée, son libre-arbitre à la science pour assurer la fin prochaine de l’humanité. Et c’est bien ainsi puisque l’homme n’a jamais rien compris. Il n’a jamais compris que vivre c’est accéder à la mort en toute liberté, en liberté absolue. Il n’a jamais compris qu’il n’a jamais été puisqu’il a une peur bleue de son inconscient et qu’il refuse toujours - et sans savoir pourquoi - d’aller chez le psy qui est le SEUL, sur cette terre, capable de lui rendre sa liberté que ses ancêtres, sa famille, sa société, sa secte ou sa religion, lui ont confisqués dès son entré dans le ventre de la femme. L’homme est l’échec majeur de la vie. Il est la tâche de l’univers et il ne le sait pas. Et c’est bien normal puisqu’il ne sait rien. Rien, rien, désespérément rien…  

Depuis que Charlemagne a inventé l’école, elle est obligatoire. Comment se fait-il qu’en 2020, elle ne le soit plus et que l’enfant et l’enseignant aient le choix de la fréquenter ou non ? Comment se fait-il que nos écoles soient désespérément vides ? Et nos écoles de musique ? Pourquoi, elles aussi, se sont-elles mises en congés sans raison ? La médecine, qui prépare notre robotisation, serait-elle plus puissante que les puissants de ce monde ? Les peuples auraient-ils donc perdu toutes dignités pour se laisser malmener ainsi ? Le monde serait-il donc entrain de s’écrouler ? Serions-nous donc nés pour la lâcheté et la destruction ? Que de questions à se poser dans ce monde noir et indécent ! Nous ne pourrons jamais y répondre, nous nous serons donné la mort avant.    

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