jeudi 25 juin 2020

vu à travers le tube • homme et/ou homme… les morts-vivants vivent encore dans la mort…


La pensée nourrie, structurée, éclairée du Professeur Raoult face à la non-pensée des moutons à deux pattes de l’Assemblée représentante des troupeaux assujettis qui convergent, quoi qu’il en soit, quoi qu’on en dise et quoi qu’on en pense, vers la pensée aseptisée, fracturée, anémiée, décharnée et moribonde du Roi de France, candidat à la pure dictature qu’attendent tant les français de toutes couches. La lumière et les ombres. Depuis des millénaires et plus, l’homme tente de vivre sur cette terre et ne cesse d’échouer. Jamais le moindre progrès n’a été constaté. L’homme est toujours cet être confronté à lui-même qui ne peut résoudre le plus petit des problèmes, parce qu’il ne sait toujours pas qu’il EST. Sans l’autre, il n’existe pas parce qu’il n’existe pas sans lui. Et seule - SEULE - la thérapie freudienne pourrait le sortir de sa léthargie. Mais il n’en veut pas. Comme il a peur de Corne à Virus, il a peur de Freud ce qui se résume en cette peur monstrueuse qu’il a de lui. L’homme est lâche et petit. Seul son fantasme peut le nourrir. Et comme il en a peur aussi, il préfère mourir le ventre vide. Merci Freud, merci Hitchcock, merci Wagner, merci Lynch, de m’avoir exclu du système où l’homme se meurtri lui-même et meurt piteux dans son crétinisme.    

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