jeudi 12 mars 2020

vu à travers le tube • un homme condamné à mort...

Chanson bien connue et dont la véracité ne peut être contestée : pendant que l’on parle d’une chose, on ne parle pas d’une autre. Depuis des semaines, c’est Corne à virus qui tient le haut du panier. Ce soir, c’est le Roi de France, le petit enfant immature qui va saouler les cons qui vont l’écouter. Si le procès Fillion(s) est presque passé inaperçu, celui de Weinstein a eu un peu plus d’impact puisque personne ne peut échapper aux Hystériques-MeToo-BalanceTonPorciennes qui ont joui toutes ensembles en hurlant hystériquement « bienfait le monstre ! ». Ces grandes malades psychiques sont heureuses et contentes. Weinstein a été condamné à mort – 23 ans de prison à son âge, je ne vois pas ce que c’est sinon la fin de la vie dans une cage pas très dorée -. Ce qui me fait bien rire c’est que les HMTBTP pensent tenir le début de leur vengeance – je ne sais pas trop de quoi puisque jamais les protagonistes violeurs-violées ont été analysés sérieusement avec les thérapies freudiennes – alors qu’elles ont entamé le processus boomerang. Attention à la mauvaise pièce qui se termine par le coup de théâtre fatidique ! Ces femmes gravement atteintes devraient se souvenir que ce sont elles qui pondent les hommes et que les hommes sont leur propre chaire. Comme me le répète inlassablement une amie psychanalyste et comme l’a dit Freud bien avant elle – et surtout bien avant moi - : dans un viol il y a toujours deux coupables, chacun à 100%.   

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