Chanson bien connue et dont
la véracité ne peut être contestée : pendant que l’on parle d’une chose,
on ne parle pas d’une autre. Depuis des semaines, c’est Corne à virus qui tient
le haut du panier. Ce soir, c’est le Roi de France, le petit enfant immature
qui va saouler les cons qui vont l’écouter. Si le procès Fillion(s) est presque
passé inaperçu, celui de Weinstein a eu un peu plus d’impact puisque personne ne
peut échapper aux Hystériques-MeToo-BalanceTonPorciennes qui ont joui toutes
ensembles en hurlant hystériquement « bienfait le monstre ! ».
Ces grandes malades psychiques sont heureuses et contentes. Weinstein a été condamné
à mort – 23 ans de prison à son âge, je ne vois pas ce que c’est sinon la fin
de la vie dans une cage pas très dorée -. Ce qui me fait bien rire c’est que
les HMTBTP pensent tenir le début de leur vengeance – je ne sais pas trop de
quoi puisque jamais les protagonistes violeurs-violées ont été analysés
sérieusement avec les thérapies freudiennes – alors qu’elles ont entamé le
processus boomerang. Attention à la mauvaise pièce qui se termine par le coup
de théâtre fatidique ! Ces femmes gravement atteintes devraient se
souvenir que ce sont elles qui pondent les hommes et que les hommes sont leur
propre chaire. Comme me le répète inlassablement une amie psychanalyste et
comme l’a dit Freud bien avant elle – et surtout bien avant moi - : dans
un viol il y a toujours deux coupables, chacun à 100%.
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