Je ne conteste en aucun cas la
nécessité – des gens de médecine l’affirment – du confinement même si je ne supporte
pas d’avoir été mis en prison alors que je suis innocent, mais je m’autorise à
continuer – comme je le fais depuis 76 ans – à me poser les questions que
personne n’ose se poser. Les professeurs de médecine qui ont pour habitude de
soigner les corps en faisant semblent de s’occuper du psychisme alors qu’ils ne
l’intègrent pas, doivent-ils être suivis et obéis comme le Messie – de Haendel
ou d’ailleurs - ? Le Roi de France - enfant immature par excellence et sans
discernement – doit-il vraiment avoir le pouvoir de décider en dernier ressort
des décisions vitales à adopter pour éradiquer un virus dont il ne connait les
données connues que par des intermédiaires qui ne font pas l’unanimité ?
Les journalistes et surtout journaleux des radios et télés – accompagnés de leurs « experts
pompes funèbres » ont-ils raison de nous saouler – pour moi, me faire
chier – 23 heures sur 24 avec le nombre de morts à Janot-le-Clocher, en
Seine-Saint-Denis, à Paris, En France, en Italie, aux Etats Unis, dans le monde
tout entier et de nous donner des ordres en permanence comme si nous étions des
demeurés ? Cette soumission quasi-totale à ce Roi despote, à ses godillots,
à ses représentants avoués ou non, à des ordres contradictoires souvent venus d’on
ne sait où, officiels ou pas, n’est-elle pas ce qu’il y a de plus dangereux au
monde si nous voulons – un jour improbable - inventer la démocratie, les dispositions
prisent en ce moment sous prétexte de normales exceptions, risquant bien de durer
dans le temps et de s’y installer pour plusieurs siècles ? Sommes-nous vraiment
conscients que nous nous laissons manœuvrer à volonté et sans broncher et que
le retour à une situation dite normale parait improbable ? Aveuglé par ce
confinement, avons-nous conscience que la majorité des familles se trouvent
dans une situation désespérée en raison de la promiscuité abusive et déraisonnable
entre l’homme, la femme et le ou les enfants, genres incompatibles. Le couple –
toujours si fragile – est en grand danger surtout après les haines provoquées
par les ignobles MeToo-BalanceTonPorciennes. Quant aux enfants – où l’on voit
ce que sont devenus les beaux-bébés-héros - comment les contenir dans quelques
mètres carrés alors qu’en période de paix ils sont Roi capricieux. Et tout s’est
mis en branle. Alors que l’on arrive toujours pas à compter les morts dans les
EHPAD, un magicien compte tous les jours le nombre de femmes battues et le
nombre d’enfants maltraités, nombre qui s’est largement déployé puisque rien n’a
jamais été fait quand on était pas en guerre contre l’inconnu. Puisque nous n’avons
plus rien à faire, le temps de se poser les vraies questions n’est-il pas venu ?
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