vendredi 27 mars 2020

vu à travers le tube • , le temps de se poser les vraies questions n’est-il pas venu ?

 Je ne conteste en aucun cas la nécessité – des gens de médecine l’affirment – du confinement même si je ne supporte pas d’avoir été mis en prison alors que je suis innocent, mais je m’autorise à continuer – comme je le fais depuis 76 ans – à me poser les questions que personne n’ose se poser. Les professeurs de médecine qui ont pour habitude de soigner les corps en faisant semblent de s’occuper du psychisme alors qu’ils ne l’intègrent pas, doivent-ils être suivis et obéis comme le Messie – de Haendel ou d’ailleurs - ? Le Roi de France - enfant immature par excellence et sans discernement – doit-il vraiment avoir le pouvoir de décider en dernier ressort des décisions vitales à adopter pour éradiquer un virus dont il ne connait les données connues que par des intermédiaires qui ne font pas l’unanimité ? Les journalistes et surtout journaleux des radios et télés – accompagnés de leurs « experts pompes funèbres » ont-ils raison de nous saouler – pour moi, me faire chier – 23 heures sur 24 avec le nombre de morts à Janot-le-Clocher, en Seine-Saint-Denis, à Paris, En France, en Italie, aux Etats Unis, dans le monde tout entier et de nous donner des ordres en permanence comme si nous étions des demeurés ? Cette soumission quasi-totale à ce Roi despote, à ses godillots, à ses représentants avoués ou non, à des ordres contradictoires souvent venus d’on ne sait où, officiels ou pas, n’est-elle pas ce qu’il y a de plus dangereux au monde si nous voulons – un jour improbable - inventer la démocratie, les dispositions prisent en ce moment sous prétexte de normales exceptions, risquant bien de durer dans le temps et de s’y installer pour plusieurs siècles ? Sommes-nous vraiment conscients que nous nous laissons manœuvrer à volonté et sans broncher et que le retour à une situation dite normale parait improbable ? Aveuglé par ce confinement, avons-nous conscience que la majorité des familles se trouvent dans une situation désespérée en raison de la promiscuité abusive et déraisonnable entre l’homme, la femme et le ou les enfants, genres incompatibles. Le couple – toujours si fragile – est en grand danger surtout après les haines provoquées par les ignobles MeToo-BalanceTonPorciennes. Quant aux enfants – où l’on voit ce que sont devenus les beaux-bébés-héros - comment les contenir dans quelques mètres carrés alors qu’en période de paix ils sont Roi capricieux. Et tout s’est mis en branle. Alors que l’on arrive toujours pas à compter les morts dans les EHPAD, un magicien compte tous les jours le nombre de femmes battues et le nombre d’enfants maltraités, nombre qui s’est largement déployé puisque rien n’a jamais été fait quand on était pas en guerre contre l’inconnu. Puisque nous n’avons plus rien à faire, le temps de se poser les vraies questions n’est-il pas venu ?     

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