Les directives dictatoriales décrétées par le Roi de France
sous prétextes prétendus justifiés et urgents pour lutter contre Cornelius nous
fait entrer de pleins pieds dans la dictature tant attendue par les français de
tous bords. J’ai noté que les journaleux de toutes confessions regrettaient de ne
plus pouvoir aller aux spectacles de foot où les comédiens s’embrassent sur la
bouche en se frottant le zizi dès qu’ils ont réussi à envoyer un ballon dans
une cage à poules. Les journaleux regrettent aussi la suppression de la tournée
de Madona, femme stupide, puante, ridicule, sans intérêts ni talents qui ne
pourra plus offrir sa petite culotte à ses amoureux transis. Par contre, je n’ai
entendu personne se plaindre de la fermeture des nombreuses salles de concerts
de musique classique et des salles d’opéra, ce qui est catastrophique pour la
société culturelle que l’on pourrait construire après la fin des Rois et l’avènement
de la Démocratie. Même si j’en meurs demain ou après-demain, Cornélius est une
aubaine fantastique pour remettre les choses en place et pour mettre le monde
face à son caca. Après – s’il y a un après -, il va bien falloir que l’on nettoie
du sol au plafond cette société liberticide qui honore l’Or et Dieu et humilie
l’homme – la femme je ne sais pas et je m’en fous -.
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