Con à virus commence sérieusement à me faire chier. Je me mouche dans ce
que je veux et je me lave les mains si je veux. De toutes les façons, elles ne
sont pas sales. Je ne m’en sers pas ou peux. Je ne touche que ma fourchette
pour mon steak et mon saxhorn alto mib pour travailler mes gammes et mes arpèges
dans toutes les tonalités. Je ne touche pas les hommes avec qui je parle de la
pluie, du beau temps et de l’enfant pervers qui ne prend aucune précaution pour
enculer les français, ce qui fait la joie de Con à virus. A part celle qui est
moi qui suis elle, je n’approche jamais les femmes. Je me méfie. Je ne veux pas
mourir poignardé dans le dos par ces perverses hystériques totalement désaxées
dont la pensée devrait être confiée en urgences urgentes à Freud, qui, je le
reconnais, va devoir faire preuve d’une patience inhumaine pour aboutir à un
mieux. Con à virus arrive à point pour le Roi de France en détresse. Que de lois
liberticides vont pouvoir passer en toute liberté !
PS : Une terrible nouvelle, hier. On apprend que Juliette – 83 ans – a
été violée par son père, sous les yeux de sa mère qui a beaucoup pleurée et… c’est
tout ! C’était sous Napoléon III. Elle porte plainte. Dupont M. a accepté
de la défendre. Elle va être vengée. Bravo Juliette.
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