mercredi 4 mars 2020

vu à travers le tube • c’est con, con à virus…


Con à virus commence sérieusement à me faire chier. Je me mouche dans ce que je veux et je me lave les mains si je veux. De toutes les façons, elles ne sont pas sales. Je ne m’en sers pas ou peux. Je ne touche que ma fourchette pour mon steak et mon saxhorn alto mib pour travailler mes gammes et mes arpèges dans toutes les tonalités. Je ne touche pas les hommes avec qui je parle de la pluie, du beau temps et de l’enfant pervers qui ne prend aucune précaution pour enculer les français, ce qui fait la joie de Con à virus. A part celle qui est moi qui suis elle, je n’approche jamais les femmes. Je me méfie. Je ne veux pas mourir poignardé dans le dos par ces perverses hystériques totalement désaxées dont la pensée devrait être confiée en urgences urgentes à Freud, qui, je le reconnais, va devoir faire preuve d’une patience inhumaine pour aboutir à un mieux. Con à virus arrive à point pour le Roi de France en détresse. Que de lois liberticides vont pouvoir passer en toute liberté !  

PS : Une terrible nouvelle, hier. On apprend que Juliette – 83 ans – a été violée par son père, sous les yeux de sa mère qui a beaucoup pleurée et… c’est tout ! C’était sous Napoléon III. Elle porte plainte. Dupont M. a accepté de la défendre. Elle va être vengée. Bravo Juliette.

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