La cote du Roi de France descend –
légèrement – encore ce matin. Quand cette cote descend – souvent - le chiffre
indicateur monte. C’est probablement le résultat de l’improportionnalité
mathématicienne. De plus en plus sur les chaînes télés continues et sur la France
Inter macroniennes on évoque l’amplification de la détestation de l’enfant Roi
de France, de son insupportable perversité et de sa tragique méconnaissance de
la pensée humaine. L’enfant est illégitime. Seul 15% - pas 1% de plus – des français
ont souhaité son accession au trône sali par les fesses de François 1e,
Louis XIV, Napoléon, De Gaulle, Sarkozi. Et dans quelques mois – un peu plus de
vingt-quatre – les français vont devoir remettre ça. A moins que la démission volontaire
ou forcée du Roi intervienne avant, celui-ci sera réinvité à monter sur le
siège royal. C’est inéluctable. Puisque personne ne veut inventer la
démocratie, il faut revenir aux bons vieux partis qui permettaient au moins d’espérer.
Sous le règne de l’enfant et de sa vielle épouse-mère toute ridée, qui ose
penser ?
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