Une soirée entière Canal+ consacrée à la crasse de la pire des délations,
celle bien perverse de derrière les fagots, bien crade et bien pensée pour
humilier et détruire un cinéaste de génie, Roman Polanski, avec à sa tête la
caricature poisseuse de la pseudo-humoriste Foresti, l’intervention ignoble d’une
grosse noire qui a compté le nombre de noirs dans le salle – 12… évidemment –
et le stupide et ridicule Darroussin qui a joué – je n’en reviens pas – le rôle
du fou du Roi – ici, Hitler -. Prêt à vomir, je me suis retiré après la
deuxième récompense de Polanski, et je n’ai pas vu l’ignoble Haenel quitter la
salle en poussant des cris hystériques de vierge effarouchée. Je suis tout de même
un peu rassuré. Ecoutez l’interview de Serge Toubiana, longtemps patron des « Cahiers
du Cinéma », la seule revue parlant CINEMA qui vient de se faire décapitée,
ce matin sur France Inter. Nous ne nous sommes pas consultés et pourtant nous
sommes en parfait accord. Polanski a eu son pavé (3 fois). Il n’en avait pas besoin.
Mais c’est un symbole fort contre la connerie humaine et l’imbécilité des
MeTooBalanceTonPorciennes.
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