Les godillots députés ont été convoqués
par leur maître à penser, l’enfant prétentieux, immature et incompétent, le Roi
de France - pour se prendre une fessée parce que deux ou trois d’entre eux
souhaiteraient sortir du rang. La scène, que Sade – sublime auteur des
relations sexuelles et politiques aussi - n’aurait pas reniée, s’est passée
comme prévu : tous les culs étaient à nus et ont été bien rougis, mais
aussi caressés, comme cela se doit pendant la cérémonie que je regrette de ne
pas avoir vu en direct sur BFMTV ou chez Hanouna, pourquoi pas ? Ces
pauvres misérables godillots ne peuvent même pas prétendre être des humains. L’âne
de mon grand oncle Martin qui a passé sa vie à brouter l’herbe verte des prés
où j’allais jouer aux cow-boys et aux indiens avec mes voisins de quartier – j’en
ai massacré des indiens ! – était d’une fabuleuse intelligence si je
compare à ces machins à deux pattes en haut et deux en bas dont la tête a été sciée
au-dessus des yeux et dont la rondelle détachée a été jetée aux vautours qui se
sont régalés. Et ce non-événement est relaté ce matin par toutes les presses du
pays comme si cela pouvait intéresser quelqu’un. Par contre je n’ai lu personne
écrire sa fureur contre la justice qui a mis en prison la psychopathe qui a étouffé
son enfant. Cette femme doit aller directement à l’hôpital psychiatrique
pour être aidée et ne jamais en ressortir. Vivre dans un monde ou le bon sens
et les valeurs sont inversés, c’est être mort, c’est ne jamais être né.
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