« Récompenser
Polanski, c'est cracher au visage des victimes ! » a dit l’excitée MeToosienne
Haenel. La Jeanne – d’Arc – de la femme est noyée dans sa fixette. Polanski est
un violeur. Polanski est un criminel. Polanski est indigne de vivre. OK. C’est
donc à la justice de faire son travail, de l’arrêter, de le juger et de le punir
pour l’exemple car c’est toujours pour l’exemple que l’on puni bien que cela ne
serve strictement à rien. Mais, si Polanski a pondu un chef-d’œuvre, on a le
droit de le lui dire, on a le droit de le récompenser. Ce n’est pas une vengeresse
qui peut entraver le bonheur de savourer un bon film d’autant qu’en France, c’est
une denrée rarissime. Suite à ce désastre d’enfants gâtés, la sagesse serait
que la cérémonie des César soit tout simplement annulée et que le Roi de France
actuel - et le prochain et le prochain et sans doute le prochain - s’attelle
sérieusement au seul problème humain de notre société : comment séparer
définitivement l’homme de la femme, ces deux entités qui ne peuvent se
supporter et qui sont en guerre depuis que ces connards de singes ont muté.
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