mardi 25 février 2020

vu à travers le tube • ces connards de singes…

« Récompenser Polanski, c'est cracher au visage des victimes ! » a dit l’excitée MeToosienne Haenel. La Jeanne – d’Arc – de la femme est noyée dans sa fixette. Polanski est un violeur. Polanski est un criminel. Polanski est indigne de vivre. OK. C’est donc à la justice de faire son travail, de l’arrêter, de le juger et de le punir pour l’exemple car c’est toujours pour l’exemple que l’on puni bien que cela ne serve strictement à rien. Mais, si Polanski a pondu un chef-d’œuvre, on a le droit de le lui dire, on a le droit de le récompenser. Ce n’est pas une vengeresse qui peut entraver le bonheur de savourer un bon film d’autant qu’en France, c’est une denrée rarissime. Suite à ce désastre d’enfants gâtés, la sagesse serait que la cérémonie des César soit tout simplement annulée et que le Roi de France actuel - et le prochain et le prochain et sans doute le prochain - s’attelle sérieusement au seul problème humain de notre société : comment séparer définitivement l’homme de la femme, ces deux entités qui ne peuvent se supporter et qui sont en guerre depuis que ces connards de singes ont muté.  


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire