LREM reproduit les histoires d’O. Hier, devant
le siège du parti des godillots du Roi de France, des manifestants ont fait
valoir leur mécontentement et leur haine justifiée du monarque. Le délégué
général du parti, Guérini, qui a pris – ce n’est pas nouveau – ses désirs pour des réalités, a vu des manifestants « pénétrer » le « siège »
du parti « violant » ainsi le « siège ». Il n’a pas su dire
s’ils étaient entrés par la « porte » de « derrière » ou
par celle de « devant ». Des manifestants auraient crié le slogan « on
ira jusqu’au retrait » ce qui pour Guérini est la preuve qu’ils étaient
dedans et qu’ils n’avaient pu y entrer que par le viol tant à la mode sous le
règne du Roi. Guérini a dit que vouloir « pénétrer » un mouvement
politique était anti-démocratique alors que le mot n’existe pas, la démocratie n’ayant
toujours pas été inventée. La police du Roi a démenti cette nouvelle histoire d’O
qui n’est pas mentionnée dans l’ouvrage de Pauline Réage.
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