triste dans le bois
Julie a froid
sans son manteau noir
perdu dans le noir
la porte rouge
s’ouvre et bouge
fermant le sentier
d’un tas de fumier
un mental camarade
joue au carnaval
et règle la chaudière
soudée dans la pierre
ce soir c’est tranquille
dans le puits puéril
où Julie s’est jetée
nue et violée
poèmes improvisés en vers ou parfois en prose
haG
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