En Espagne,
une participante affirme avoir été violée devant les caméras de Big Brother par
un candidat alors qu’elle était sous l'emprise de l'alcool et inconsciente. Il
est coupable d’avoir violé. Elle est coupable de boire de l’alcool. Dans l’immense
majorité des viols des femmes et des hommes, il y a toujours deux coupables. Le/la
violeur/violeuse et celle/celui qui s’est laissé(e) violer (in)consciemment.
Mes propos ne vont pas dans le sens de la guerre perverse et puante déclarée
par des ignorantes qui s’imaginent qu’il suffit de condamner, de punir et de
happer l’opinion publique pour que la guerre des sexes prenne fin. Il est
dommage que les opposants à l’hystérie imposée en ce moment ne se manifeste
pas. Ils sont nombreux mais ils ont peurs. Je les comprends. Le moindre écart
de langage contre cette mode et ils sont lynchés jusqu’à extermination. Cessons
de prôner le couple. Cessons de prôner le mariage. Cessons de prôner la
procréation. Apprenons le fonctionnement de la pensée dès la maternelle.
Apprenons aux enfants que l’homme et la femme sont différents et qu’il
faut inventer une forme d’égalité quand on sait que l’un a un pic et l’autre un
trou à pics. Déconseillons toutes
relations entre ces deux êtres si peu semblables aux personnes non averties et non
instruites. Conseillons fortement l’analyse freudienne dès l’adolescence et même
bien avant. Le jour ou l’homme et la femme sauront qui ils sont, un grand pas sera
fait. N’oublions jamais que nous ne sommes pas ce que nous sommes. Freud… encore
Freud… toujours Freud. Sans cela… rien !
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