samedi 23 novembre 2019

le puits au fond du jardin • la femme, la mal aimée qui va chercher la solution où personne ne pourra l’aider...




Schiappa, la godillote-ministre macronienne, affirme que la société française est profondément sexiste. Si cette affirmation est vraie – ce qui m’étonnerait venant de la part d’une godillote – moi, j’affirme que la société française est profondément catholique et de plus en plus profondément musulmane et que ces deux religions sont les deux lieux de vie où la femme est le plus humiliée et le plus méprisée, ce qui se traduit très souvent par ces harcèlements, ces attouchements et ces viols dont on parle tant et tellement, qu’ils sont devenus l’unique sujet de conversation  et de préoccupation de la société toute entière. Et Schiappa - comme l’immense majorité des français – croit que c’est le durcissement de la loi et le bannissement de l’homme qui va régler tous ces problèmes. Moi je crois que ces problèmes ne pourront être réglés que dans le temps et sans l’intervention de la classe politique, mais avec l’aide de ceux qui ont étudié le fonctionnement de la pensée, le fonctionnement de l’inconscient sans cesse en guerre contre la raison et la logique humaine. L’homme et la femme ont besoin dès la naissance d’un réglage complet et efficace, puis d’un réglage suivi dans le temps et ceci toute la vie. Et ce n’est pas le petit Roi, le petit enfant, lui qui a épousé sa maman, qui est en capacité de régler le problème de base qui règle toutes les vies. Seuls ceux qui suivront les thérapies freudiennes seront en mesure de faire progresser les prises de conscience nécessaires pour apprendre à se respecter soi-même, ce qui finira bien par arriver au respect de l’autre, dans l’hypothèse évidemment où l’autre existe vraiment, ce dont je suis loin d’être sûr. Je crois avoir donné – une fois encore - LA solution. Et comme cette solution est loin de faire l’unanimité puisque l’homme et la femme adultes sont une denrée rare, je suis tout à fait conscient que je n’écrit que pour moi-même, ce qui ne sert strictement à rien puisque je ne vois pas l’intérêt de me conseiller ce que je connais, ce que j’ai et ce que je pratique régulièrement.     

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire