Alors
que Salamé – la tâche de France Inter – est revenue sur l’affaire du voile
alors qu’il n’y a pas d’affaire de voile, le voile n’ayant pas lieu d’exister,
elle a mis en avant avec une voix tremblante et pleurnichante le traumatisme de
l’enfant qui s’est mis à pleurer de toutes ses larmes et qui pleure encore à
l’heure où j’écris ces lignes, risquant de provoquer une inondation
irrémédiable et qui pourrait se propager si on ne trouve pas de médicaments qui
inversent le processus en faisant couler les larmes à l’intérieur des yeux.
C’est un peu facile de vouloir façonner les auditeurs à ses convictions en
ressassant une conséquence sans importance qui atteint la sensibilité des plus
fragiles. Cet enfant est voué aux larmes toute sa vie puisque sa mère n’a pas
l’intention d’abandonner l’objet de sa captivité par sa religion et puisque
qu’elle préfère obéir plutôt que réaliser sa propre liberté.
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