jeudi 3 octobre 2019

le puits au fond du jardin • les romantiques nuits d’aix-les-bains...

Je n’y étais pas. Je n’y suis plus depuis longtemps. Je ne me suis jamais inclus dans le cercle des petits bourgeois aixois et amis qui prétendent aimer la musique et faire de cette ville morte un lieu de pèlerinage musical international alors que La Côte-Saint-André – toute proche - a décollé et s’est envolée avec Berlioz et que Sisteron – presque toute proche – apporte plus de diversité et de qualité dans un cadre infiniment plus agréable. Aix-les-Bains est une ville sans âme qui n’a plus de culture depuis une trentaine d’année alors que c’est dans ce lieu même que fut créé – en langue française – le sommet de l’art lyrique « Tristan et Isolde » de Richard Wagner. Et pompom sur la cerise, les organisateurs n’ont rien trouver de mieux que d’engager la fille d’un des anciens maires de la ville, l’épouse de Renaud Capuçon, la plus inintéressante des journalistes des chaînescontinuesmacroniennes pour « réciter » - sans aucun humour, le texte de Francis Blanche écrit pour « Le Carnaval des animaux » de Saint-Saens, l’inconsistante Laurence Ferrari.       

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire