Je n’y étais pas. Je n’y suis plus
depuis longtemps. Je ne me suis jamais inclus dans le cercle des petits
bourgeois aixois et amis qui prétendent aimer la musique et faire de cette ville
morte un lieu de pèlerinage musical international alors que La Côte-Saint-André
– toute proche - a décollé et s’est envolée avec Berlioz et que Sisteron –
presque toute proche – apporte plus de diversité et de qualité dans un cadre
infiniment plus agréable. Aix-les-Bains est une ville sans âme qui n’a plus de
culture depuis une trentaine d’année alors que c’est dans ce lieu même que fut
créé – en langue française – le sommet de l’art lyrique « Tristan et
Isolde » de Richard Wagner. Et pompom sur la cerise, les organisateurs
n’ont rien trouver de mieux que d’engager la fille d’un des anciens maires de la ville,
l’épouse de Renaud Capuçon, la plus inintéressante des journalistes des
chaînescontinuesmacroniennes pour « réciter » - sans aucun humour, le
texte de Francis Blanche écrit pour « Le Carnaval des animaux » de Saint-Saens,
l’inconsistante Laurence Ferrari.
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