L’impayable Rebecca Manzoni – une des
nombreuses plaies de France Inter – a présenté ce matin Babooshka ponte
dernière – ou avant - sur Never for Ever de la sorcière du son de Claire
Laborey, Kate Bush dans Tubes N’Co dont Renaud Revel écrivait : « Petites
natures, âmes sensibles, oreilles fragiles, évitez à tout prix Kate Bush et
courez vite vous réfugier dans les jupes des chanteuses comme il faut ». Ici, Kate Bush soulève sa jupe, et, d'en-dessous, sortent colombe,
serpent et chauve-souris qui montrent les crocs. Kate Bush porte un
voile, comme une veuve, elle se transforme en chevelure léonine, soutien-gorge et
coutelas dans sa jarretière avec trois syllabes qu’elle fait tonner avec une guitare électrique une
grosse basse, une batterie percutante comme si elle montait des marches, d’un
pas martial. « J’ai
toujours voulu insuffler à ma musique un maximum d’énergie virile ».
Merde
alors ! Manzoni la névrosée est donc payée pour nous faire ingurgiter de
la merde dès 7h20 le matin. Faire écouter Bush, névrosée parmi les névrosées
écoutée par des névrosées et des névrosés alors que l’on pourrait entendre
Ligeti, Bach, Monteverdi, Verdi, Mozart, Schubert, Boulez, Strauss – Richard et
Johann -, Puccini, Webern, Salieri, Vivaldi, Berg et les autres, est une insulte
publique à la pensée de l’homme qui ne cesse de régresser. Docteur Ampe alias
Jacobi a raison. Il faut acheter sa pelle à se démerder si l’on veut sortir de
ce monde de tarés.
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