vendredi 20 septembre 2019

vu à travers le tube • le tube(s) n’ co...


L’impayable Rebecca Manzoni – une des nombreuses plaies de France Inter – a présenté ce matin Babooshka ponte dernière – ou avant - sur Never for Ever de la sorcière du son de Claire Laborey, Kate Bush dans Tubes N’Co dont Renaud Revel écrivait : « Petites natures, âmes sensibles, oreilles fragiles, évitez à tout prix Kate Bush et courez vite vous réfugier dans les jupes des chanteuses comme il faut ». Ici, Kate Bush soulève sa jupe, et, d'en-dessous, sortent colombe, serpent et chauve-souris qui montrent les crocs. Kate Bush porte un voile, comme une veuve, elle se transforme en chevelure léonine, soutien-gorge et coutelas dans sa jarretière avec trois syllabes qu’elle fait tonner avec une guitare électrique une grosse basse, une batterie percutante comme si elle montait des marches, d’un pas martial. « J’ai toujours voulu insuffler à ma musique un maximum d’énergie virile ».

Merde alors ! Manzoni la névrosée est donc payée pour nous faire ingurgiter de la merde dès 7h20 le matin. Faire écouter Bush, névrosée parmi les névrosées écoutée par des névrosées et des névrosés alors que l’on pourrait entendre Ligeti, Bach, Monteverdi, Verdi, Mozart, Schubert, Boulez, Strauss – Richard et Johann -, Puccini, Webern, Salieri, Vivaldi, Berg et les autres, est une insulte publique à la pensée de l’homme qui ne cesse de régresser. Docteur Ampe alias Jacobi a raison. Il faut acheter sa pelle à se démerder si l’on veut sortir de ce monde de tarés.    

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire