Donc toute la nuit, les
français – les parigos-gogos – ont défilé, comme l’armée russe ou chinoise,
devant le cadavre de Chirac qui n’en a vraiment rien à foutre. L’histoire ne
dit pas si Jacqueline Chabridon, sa maîtresse attitrée, marchait au pas dans le
défilé ou pleurait dans les bras de Bernadette. Le Pen qui voulait rendre
hommage au cadavre a renoncé. La famille du mort l’a menacé de représailles
nationales si elle osait s’approcher. Preuve encore que j’ai raison :
quand dans un couple il y a violence, les deux sont coupables à 100%. Et ici
c’est la même chose. Claude la commandante en chef de la famille n’avait pas à
interdire quoi que ce soit à Le Pen, le mort appartenant à la Monarchie
totalitaire. Le Pen n’avait pas à se rendre à la mascarade puisqu’elle a
toujours méprisé le mort. Les deux parties en guerre sont donc coupables à
100%. Le dernier sondage indique que la popularité de Chirac est égale à celle de De Gaulle. Faut-il
rappeler que celle de Mitterand avait dépassé – dans les mêmes circonstances –
celle du Général Dictateur. Toute cette pub infecte et méprisable autour d’un
homme ne peut que renforcer l’idée qu’il ne faudra jamais inventer la
Démocratie. C’est trop bien un homme qui fouette les gens et les oblige à marcher
cul nu sur la place du marché les jours de marché.
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