Le ténor Vittorio Grigolo vient
d’entrer dans la case des pestiférés qui toucheraient les dames alors qu’elles
ont dit non, non et non – c’est ce qu’on m’a dit -. Je ne réécrirai pas la
liste interminable de tous ceux qui sont visés et condamnés avant les décisions
de justice. La vie de l’homme étant devenu ce qu’elle est, j’aimerais que l’on
fasse des enquêtes sur la sexualité débridée de Victor Hugo, de Lamartine, de
George Sand, de Musset, de Napoléon, de Giscard d’Estaing, de Molière, de
Mozart, de Wagner, de Puccini, de Charles Martel, de Louis XI et de tous les
autres, hommes et femmes, qui ont violé les lois puritaines des sociétés et
religions antiques. J’aimerai aussi que l’on entreprenne une large et sérieuse
enquête sur les hommes harcelés et souvent violés qui sont beaucoup plus
nombreux qu’on ne le dit. Non seulement la terre brûle, mais aussi les pensées
tombent dans le puits de la perversité mal placée, dans le dénie des réalités,
dans la forfaiture la plus ignoble. Continuez Mesdames, continuez votre
destruction lamentable. Un jour ou l’autre, le boomerang se réveillera. Il est
vrai que je ne sais pas pourquoi j’écris tout ceci, parce que pour comprendre
ce que je dis, il faut avoir fréquenté Freud assidûment et sans cesse répéter
sa leçon : vous croyez être alors que vous n’êtes pas. Vous serez le jour
ou vous aurez digérés la relation entre votre conscient et votre inconscient.
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