mardi 24 septembre 2019

le puits au fond du jardin • et ça continue...




Le ténor Vittorio Grigolo vient d’entrer dans la case des pestiférés qui toucheraient les dames alors qu’elles ont dit non, non et non – c’est ce qu’on m’a dit -. Je ne réécrirai pas la liste interminable de tous ceux qui sont visés et condamnés avant les décisions de justice. La vie de l’homme étant devenu ce qu’elle est, j’aimerais que l’on fasse des enquêtes sur la sexualité débridée de Victor Hugo, de Lamartine, de George Sand, de Musset, de Napoléon, de Giscard d’Estaing, de Molière, de Mozart, de Wagner, de Puccini, de Charles Martel, de Louis XI et de tous les autres, hommes et femmes, qui ont violé les lois puritaines des sociétés et religions antiques. J’aimerai aussi que l’on entreprenne une large et sérieuse enquête sur les hommes harcelés et souvent violés qui sont beaucoup plus nombreux qu’on ne le dit. Non seulement la terre brûle, mais aussi les pensées tombent dans le puits de la perversité mal placée, dans le dénie des réalités, dans la forfaiture la plus ignoble. Continuez Mesdames, continuez votre destruction lamentable. Un jour ou l’autre, le boomerang se réveillera. Il est vrai que je ne sais pas pourquoi j’écris tout ceci, parce que pour comprendre ce que je dis, il faut avoir fréquenté Freud assidûment et sans cesse répéter sa leçon : vous croyez être alors que vous n’êtes pas. Vous serez le jour ou vous aurez digérés la relation entre votre conscient et votre inconscient.      

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire