Il y a quelques jours, en Espagne, cinq
français ont violé une touriste scandinave. Une amie facebookienne fait
remarquer, qu’en fait, ces cinq garçons n’étaient pas des français mais des algériens
qui possédaient des papiers français et qu’il ne faudrait pas confondre. Alors
je me pose la question – même beaucoup
de questions - : comment est-ce possible qu’ils ne soient pas français
alors qu’ils avaient sur eux des documents attestant de leur nationalité
française ? Pourquoi faire remarquer cette situation en laissant entendre
que la victime aurait été violée par des algériens et non par des
français ? C’est vrai – tout le monde sait - que les algériens sont les
violeurs de femmes, les marocains aussi, les tunisien aussi, les indiens aussi
– rappelez-vous les films de John Ford – les italiens aussi, les mexicains
aussi, les congoliens aussi, les malgaches aussi, les australiens aussi, les
belges aussi... et j’en oublie ! En France, par contre, il y a – à la
louche – 4 ou 5 ou 10 viols par jours et si j’ajoute ceux qui se passent en
famille il arrive de monter facilement à 750 ou 930 et toujours par jour. Mais
ça on ne le dit pas parce que le Roi de France, l’enfant dont on ne connaît
rien de sa sexualité, exige que l’on dise de la France qu’elle est sage, bonne,
pure et héroïque et que sa morale ne peut être entachée de sang. C’est pourquoi
je crois que mon amie facebookienne est allée un peu vite dans son analyse et
dans ses conclusions. Moi je sais, à l’aube de mes 76 ans, que le monde est
infesté de méchants mâles sales et puants qui violent beaucoup de jolies et
jeunes femmes, des plus vieilles aussi, mais aussi et encore plus de petites
filles et des petit garçons qui n’ont rien demandé et surtout pas demandé à
venir au monde.

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