dimanche 11 août 2019

vu à travers le tube • encore une histoire de sexe...


Il y a quelques jours, en Espagne, cinq français ont violé une touriste scandinave. Une amie facebookienne fait remarquer, qu’en fait, ces cinq garçons n’étaient pas des français mais des algériens qui possédaient des papiers français et qu’il ne faudrait pas confondre. Alors je me pose la question – même  beaucoup de questions - : comment est-ce possible qu’ils ne soient pas français alors qu’ils avaient sur eux des documents attestant de leur nationalité française ? Pourquoi faire remarquer cette situation en laissant entendre que la victime aurait été violée par des algériens et non par des français ? C’est vrai – tout le monde sait - que les algériens sont les violeurs de femmes, les marocains aussi, les tunisien aussi, les indiens aussi – rappelez-vous les films de John Ford – les italiens aussi, les mexicains aussi, les congoliens aussi, les malgaches aussi, les australiens aussi, les belges aussi... et j’en oublie ! En France, par contre, il y a – à la louche – 4 ou 5 ou 10 viols par jours et si j’ajoute ceux qui se passent en famille il arrive de monter facilement à 750 ou 930 et toujours par jour. Mais ça on ne le dit pas parce que le Roi de France, l’enfant dont on ne connaît rien de sa sexualité, exige que l’on dise de la France qu’elle est sage, bonne, pure et héroïque et que sa morale ne peut être entachée de sang. C’est pourquoi je crois que mon amie facebookienne est allée un peu vite dans son analyse et dans ses conclusions. Moi je sais, à l’aube de mes 76 ans, que le monde est infesté de méchants mâles sales et puants qui violent beaucoup de jolies et jeunes femmes, des plus vieilles aussi, mais aussi et encore plus de petites filles et des petit garçons qui n’ont rien demandé et surtout pas demandé à venir au monde.

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