Pas de « tube » et pas de
« dans le noir du trou du puits » ce matin. A force d’écrire sur la
société dans laquelle une femme m’a malhonnêtement expulsée, à force de décrire
ce tas d’ordures, ce tas de merde, cette perversité à tous les étages, ce
mensonge perpétuel, ce matin, je suis fatigué, trop fatigué pour écrire des
mots qui aient un sens même si je n’en connais aucun qui en ait un parce que
sortis de la bouche d’humanoïdes dépourvus de tous sens et de toutes formes de vies.
Le monde est entré dans sa phase finale parce qu’il na pas su voir au-delà de sa
propre existence. Les dictatures sont aux portes de tous les pays parce que les
dictateurs prolifèrent et les victimes plient le genou. C’est l’obéissance
aveugle ou la mort qui est notre seul choix. Moi, je choisi la mort. Elle est
là. Nous réglons les derniers détails...
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