vu à travers le tube • griveaux, le gogo qui veut Paris !

Griveaux est entré dans le tunnel sombre du mensonge – c’est une habitude chez lui - qui précède les auréoles du pouvoir où les chutes dans les abimes où piteusement on s’échoue. Il vient d’entreprendre sa campagne anti-démocratique puisque puissamment et résolument perverse – je ne devrais pas écrire anti-démocratique puisque la démocratie n’a pas encore été inventée – et surtout bourrée de conventions mensongères et de déclarations pour les nigauds. Il a bien commencé en insultant ses amis. Il s’est excusé... wouah ! Il va recommencer à insulter puis s’excuser avant de ré-insulter puis de se ré-excuser. Ce type n’est qu’un lâche godillot Griveaux. Il est comme tous ses amis et tous ses ennemis. Il veut Paris avant de prendre – de violer - La France pour parader, pour humilier et pour cacher son impuissance. Le Roi de France n’en est-il pas le meilleur exemple ? Comme dit ma voisine de palier : «  Ne jamais voter pour quelqu’un qui se présente ! » Moi je dis : « Ne jamais voter pour un homme ou une femme, mais, si l’on doit voter – ce qui me paraît indécent – pourquoi pas pour des idées concrètes et réalisables ! » afin de tenter l’espoir d’inventer la démocratie. La démocratie c’est le lien entre les idées qui portent en elles l’humanité. C’est comme la vie, c’est peu de chose. Mais plutôt que de voir et d’entendre à longueur de journées de sinistres imbéciles qui nous enculent profondément, pourquoi ne pas la tenter ?