j'ai
vu les gouffres obscurs
ouvrir leurs gueules aspirantes
rugir dans la fouillure
des ombres terrifiantes
j'ai vu les lumières vacillantes
dans les sous-sols hantés
caresser les chaires béantes
des corps mutilés
j'ai vu ce qu'on peut voir
dans le fond de l'écran blanc
qui ne cesse de mouvoir
l'illusion du temps
ouvrir leurs gueules aspirantes
rugir dans la fouillure
des ombres terrifiantes
j'ai vu les lumières vacillantes
dans les sous-sols hantés
caresser les chaires béantes
des corps mutilés
j'ai vu ce qu'on peut voir
dans le fond de l'écran blanc
qui ne cesse de mouvoir
l'illusion du temps
poèmes improvisés en vers ou parfois en
prose
haG
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire