samedi 8 juin 2019

vu à travers le tube • ils parlent, ils parlent, ils parlent...


Le pouvoir de la persuasion. Le pouvoir des mots. Ce sont ceux qui ont ce pouvoir qui mènent le monde et les gens par le bout du nez. Ils parlent, ils parlent, ils parlent, alors qu’ils ne sont que dans la séduction et que leurs discours vides de sens séduisent à foison parce que l’homme est fait comme cela. Il cède au paraître et rejette ce qu’il ne peut appréhender. Et le meilleur exemple en est bien le succès de l’enfant Roi de France qui se maintient dans les pseudo-sondages – à 75 ans, je n’ai jamais été sondé, ni les démunis, ni les défavorisés – et qui continue sa politique de destruction antisociale et majestueuse pour les riches et les opportunistes. Il ment sans cesse comme mentent sans cesse tous ceux qui font de la politique. Il faut voir les sketchs de José et Liliane dans la série « Scènes de ménage » pour comprendre la réalité. José – maire de sa ville, depuis quelques temps - est plus vrai que nature – sa Liliane épouse aussi -. La ressemblance avec ce que j’ai vécu pendant 35 ans avec trois maires successifs – dont le père de Laurence Ferrari, aussi faux-jeton que sa fille – est telle, que je crois revivre mon passé, un passé cauchemardesque qui m’a usé parce que je n’ai jamais cédé à l’ignominie de ces gens qui ne valent rien et qui ne sont que néant. Et le monde continue à se laisser enculer par des beaux parleurs, monstres de perversité. Et pourtant, Jean de La Fontaine est passé par là. Freud aussi...

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