mercredi 1 mai 2019

vu à travers le tube • les images ne sont pas au beau fixe...


11h23 - Les images ne sont pas au beau fixe. Le peuple est dans la rue, scruté par les télés et leurs commentaires insipides, outrageants et outranciers. Le 1e mai ne peut plus être la fête du travail, mais celle  des oubliés, des méprisés, des non considérés. La police ne peut plus être un noble métier puisqu’elle obéit aux ordres fascistes du pouvoir illégitime et il est normal qu’elle soit placée dans le panier commun à ceux qui s’imaginent supérieurs, qui s’inventent des pouvoirs inexistants et qui n’ont que le seul désir de régner sur le monde des pauvres gens. Et le coupable n’est pas loin. Il est au château dans les bras de sa maman. Le coupable, le seul, c’est l’enfant, celui à qui le bulletin de vote pervers et illégitime – lui aussi - a posé le cul sur le trône du pays et qui est dans l’incapacité en raison de son jeune âge, de son psychisme altéré et de son éducation raté, de prendre LA décision qui s’impose : SA démission. Et la question doit être posée : si l’enfant démissionnait, cela serait-il utile ? NON. A l’enfant succédera inévitablement un autre enfant, un autre Roi, un misérable à son image, déchirée.   

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire