11h23 - Les images ne sont pas au beau fixe. Le peuple est dans la
rue, scruté par les télés et leurs commentaires insipides, outrageants et
outranciers. Le 1e mai ne peut plus être la fête du travail, mais
celle des oubliés, des méprisés, des non
considérés. La police ne peut plus être un noble métier puisqu’elle obéit aux
ordres fascistes du pouvoir illégitime et il est normal qu’elle soit placée
dans le panier commun à ceux qui s’imaginent supérieurs, qui s’inventent des
pouvoirs inexistants et qui n’ont que le seul désir de régner sur le monde des
pauvres gens. Et le coupable n’est pas loin. Il est au château dans les bras de
sa maman. Le coupable, le seul, c’est l’enfant, celui à qui le bulletin de vote
pervers et illégitime – lui aussi - a posé le cul sur le trône du pays et qui
est dans l’incapacité en raison de son jeune âge, de son psychisme altéré et de
son éducation raté, de prendre LA décision qui s’impose : SA démission. Et
la question doit être posée : si l’enfant démissionnait, cela serait-il
utile ? NON. A l’enfant succédera inévitablement un autre enfant, un autre
Roi, un misérable à son image, déchirée.
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