Hier,
1e avril, je me suis fait manger par deux poissons, celui qui
annonçait que la ville de Paris allait débaptiser la rue Mozart parce que le
génie musicien avait traité Voltaire de mécréant et fieffé coquin et celui de
la création à l’opéra de Paris de « En marche vers son destin » de
Karol Beffa qui relate la prise du pouvoir par l’enfant avec la superbe Karita
Mattila dans le rôle de la ReineMèreEpouse du RoiDictateur et du piètre Alagna
dans le rôle muet du truand Benalla. Je me suis trompé. J’aurais dû aller au
bout de ma lecture. Mais... ces deux poissons ne sont-ils pas plus plausibles et
beaucoup plus explicites que la nomination de la nouvelle porte-parole du
gouvernement, robote bornée et soumise à l’enfant, arrogante, menteuse et
totalement dépourvue de bon sens ? Ces deux poissons ne sont-ils pas plus
plausibles que ce que nous apprenons tous les jours sur la vie du Roi, de sa
MèreEpouse et de ses godillots et de leurs décisions qui mènent la France dans
la fosse à purin ? Mon erreur aura permis de mettre en valeur ce qui
pourrait bien passer par la tête du dictateur et de renforcer mon opinion sur
ce début de siècle que j’aurais aimé ne jamais connaître. Le 1e
avril, c’est chaque jour de l’année et peut-être pas du tout ce jour là !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire