Pour
ceux qui exigent liberté et justice, c’est mal – très mal parti -. La police
matraque sans raison toute une population dont des femmes et des vieillards
devant les caméras télés sans être le moins du monde gênée. Et l’on s’étonne
que plus personne ne souhaite respecter ces individus en armures et en armes
qui ont pris le parti de la monarchie dictatoriale de l’enfant nommé Roi de
France par des voyous dangereux dont personne ne décèle les intentions. La
honte est dans le camp du bourreau, de ses godillots, de ses esclaves. On
arrête un journaliste qui n’a rien fait, on lui interdit de travailler et
pendant ce temps Benalla se dore au soleil et drague les minettes. Et les
larves de français vont encore aller voter pour que l’enfant puisse resplendir
sur la scène internationale du théâtre des marionnettes.
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