La méchante bactérie Escherchia coli a été vue dans un fromage de chèvre au lait cru du nom de Hardy Affineur. Le producteur rappel tout son monde à la maison pour faire le ménage. Ici aussi tout bat de l’aile. C’est comme ce chef d’orchestre célèbre – très célèbre – qui connaît depuis un certain temps les désagrément de la révolte de ses musiciens pour ses attitudes dictatoriales. Barenboïm – puisqu’il s’agit de lui – est avant tout le petit garçon amoureux transi et époux de la fabuleuse Jacqueline Du Pré, violoncelliste hors du commun et ravie aux siens dans sa pleine maturité artistique. Mais c’est aussi l’homme à la tête pleine, bourrée de talent qui, comme beaucoup, n’a plus les pieds sur terre. Je ne connais pas le fond du problème, mais je rappelle que les grandioses Furtwängler, Toscanini, Karajan, Solti et bien d’autres, ignoraient la démocratie participative et que leurs orchestres – composés que de musiciens de talent – ne marchaient qu’à la baguette. Ce qui m’interroge profondément. Démocratie ou dictature ? Mon choix est fait. Il est le même depuis 75 ans. Démocratie. Et tant pis pour le bordel ! Et tant pis si les héros déchoient. Le crépuscule des Dieux. Ça et rien d’autre. Merci Wagner...
samedi 2 mars 2019
vu à travers le tube • le crépuscule des dieux...
La méchante bactérie Escherchia coli a été vue dans un fromage de chèvre au lait cru du nom de Hardy Affineur. Le producteur rappel tout son monde à la maison pour faire le ménage. Ici aussi tout bat de l’aile. C’est comme ce chef d’orchestre célèbre – très célèbre – qui connaît depuis un certain temps les désagrément de la révolte de ses musiciens pour ses attitudes dictatoriales. Barenboïm – puisqu’il s’agit de lui – est avant tout le petit garçon amoureux transi et époux de la fabuleuse Jacqueline Du Pré, violoncelliste hors du commun et ravie aux siens dans sa pleine maturité artistique. Mais c’est aussi l’homme à la tête pleine, bourrée de talent qui, comme beaucoup, n’a plus les pieds sur terre. Je ne connais pas le fond du problème, mais je rappelle que les grandioses Furtwängler, Toscanini, Karajan, Solti et bien d’autres, ignoraient la démocratie participative et que leurs orchestres – composés que de musiciens de talent – ne marchaient qu’à la baguette. Ce qui m’interroge profondément. Démocratie ou dictature ? Mon choix est fait. Il est le même depuis 75 ans. Démocratie. Et tant pis pour le bordel ! Et tant pis si les héros déchoient. Le crépuscule des Dieux. Ça et rien d’autre. Merci Wagner...
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