vendredi 29 mars 2019

vu à travers le tube • des histoires d’abrutis...


L’économiste Seux France Inter a dit que les casseurs de radars étaient des abrutis. Moi, je dis que ceux qui disent que les casseurs de radars sont des abrutis sont de sinistres abrutis. Le radar est un symbole du pouvoir dictatorial et un impôt qui s’ajoute aux impôts qui alimentent les caisses de l’état dont la manne est redistribuée aux riches abrutis. D’où la nécessité de revendre tous les radars aux chinois où aux américains et de ne tolérer sur le sol français que des autos mobiles ne pouvant dépasser les 130 hms/h et pourvues d’un modérateur de vitesse branché sur le GPS, ceci aux frais exclusifs du constructeur. L’affaire Quesada, le super champion des « 12 coups de midi », l’homme à la connaissance plus vaste de l’univers, qui est aussi un super champion de la pédophilie et qui est aujourd’hui derrière les barreaux, devrait faire grouiller les pensées. Il n’y a pas que chez les incultes, les pauvres, les démunis, les hors-sociétés, les voyous, les bandits, les tricheurs que l’on trouve les déviances sexuelles. On les trouve aussi chez les riches abrutis et chez ceux qui ont la connaissance. Cette maladie n’épargne personne, même pas ceux qui la combattent. La  connaissance universelle est sans importance. Ce qui devrait être prioritaire, c’est la connaissance de soi. Ceci n’empêcherait sûrement pas cela, mais ceci pourrait devenir anecdotique si chacun acceptait, dès le plus jeune âge et tout au long de sa vie, de rendre visite à Freud régulièrement.       

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