lundi 18 mars 2019

vu à travers le tube • ben... le bout du chemin !


Ben... il y a ceux qui se révoltent et manifestent leur haine – saine et bien compréhensible - du pouvoir, en marchant dans les rues. Et puis il y a ceux qui cassent tout sur leur passage pour se défouler et je ne vois le rapport entre les deux. Les pacifistes ont tord d’être pacifistes. Les casseurs ont tord de casser. Il est vrai que pour répondre à la violence du pouvoir, il faut employer la violence adéquate, si ont veut se faire entendre. Ce n’est pas en lançant des « monsieur le président » ou des « madame la ministre » dans des débats stupides, ridicules et pervers que les français vont établir la justice sociale, la liberté de penser et le choix de vivre selon et à sa guise.  Vivre c’est être libre de tous ses désirs et sans entraves. Vivre, c’est choisir, c’est décider librement sans se préoccuper des déclarations des ignorants, des arrivistes, des malhonnêtes, des entubeurs professionnels. Toute forme de société est l’ennemie de l’individualité, donc de la liberté. Et comme il ne peut avoir aucun moyen d’éradiquer la société et l’homme n’étant qu’une masse de chair laide et puante sans forme de pensée, il ne reste plus qu’à suivre le chemin de la mort. La mort n’est-elle pas la seule raison de vivre puisqu’elle seule mène au bout du chemin ?

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