Ben... il y a ceux qui se
révoltent et manifestent leur haine – saine et bien compréhensible - du pouvoir,
en marchant dans les rues. Et puis il y a ceux qui cassent tout sur leur
passage pour se défouler et je ne vois le rapport entre les deux. Les pacifistes
ont tord d’être pacifistes. Les casseurs ont tord de casser. Il est vrai que
pour répondre à la violence du pouvoir, il faut employer la violence adéquate,
si ont veut se faire entendre. Ce n’est pas en lançant des « monsieur le
président » ou des « madame la ministre » dans des débats
stupides, ridicules et pervers que les français vont établir la justice sociale,
la liberté de penser et le choix de vivre selon et à sa guise. Vivre c’est être libre de tous ses désirs et
sans entraves. Vivre, c’est choisir, c’est décider librement sans se préoccuper
des déclarations des ignorants, des arrivistes, des malhonnêtes, des entubeurs
professionnels. Toute forme de société est l’ennemie de l’individualité, donc
de la liberté. Et comme il ne peut avoir aucun moyen d’éradiquer la société et
l’homme n’étant qu’une masse de chair laide et puante sans forme de pensée, il
ne reste plus qu’à suivre le chemin de la mort. La mort n’est-elle pas la seule
raison de vivre puisqu’elle seule mène au bout du chemin ?
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