Tu n’oses plus jouer,
dit Sophie avec des pincettes ras contées à en mourir peut-être. Au bout du
chemin il y a le chemin des cendres déjà dit en langue d’abois qui n’a entendu
qu’abandon de crimes parfaits abandonnant les ténèbres après un dernier tour au
jardin. Je crains qu’elle se rate davantage peut-être.
haG
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