dimanche 10 mars 2019

j'y était • le désastre d’un compositeur sans talent...


















Hier soir, j’étais donc à l’Auditorium de la Part Dieu pour ce « Roméo et Juliette » de Berlioz, par l’Orchestre national de Lyon. Je passe sur la direction angoissée et angoissante à la gestique répétitive d’Altinoglu. Je passe sur l’intervention éclair – 3 ou 4 minutes sur 1h50 - de Gubisch – mezzo-soprano – et Beuron – ténor -. Je passe sur l’endormissement du violon solo. Et avant de ne pas passer, je félicite l’excellence de l’orchestre, la magnifique prestation du chœur et la présence admirable de Soar – basse – qui a permis de donner au dix dernières minutes – sur 1h50 – une couleur à ce concert. Par contre je ne passe pas sur l’extrême nullité, sur le monument d’ennui, qu’est l’œuvre de Berlioz, qui me confirme définitivement que ce grand farceur n’a rien d’un compositeur. Rien... vraiment rien ! Même pas la « Fantastique »...   

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