Hier soir, j’étais donc à
l’Auditorium de la Part Dieu pour ce « Roméo et Juliette » de
Berlioz, par l’Orchestre national de Lyon. Je passe sur la direction angoissée
et angoissante à la gestique répétitive d’Altinoglu. Je passe sur l’intervention
éclair – 3 ou 4 minutes sur 1h50 - de Gubisch – mezzo-soprano – et Beuron –
ténor -. Je passe sur l’endormissement du violon solo. Et avant de ne pas
passer, je félicite l’excellence de l’orchestre, la magnifique prestation du
chœur et la présence admirable de Soar – basse – qui a permis de donner au dix
dernières minutes – sur 1h50 – une couleur à ce concert. Par contre je ne passe
pas sur l’extrême nullité, sur le monument d’ennui, qu’est l’œuvre de Berlioz,
qui me confirme définitivement que ce grand farceur n’a rien d’un compositeur.
Rien... vraiment rien ! Même pas la « Fantastique »...
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