lundi 18 février 2019

vu à travers le tube • yuja wang…


Je ne vais pas m’attarder sur les différents évènements autour des Gilets Jaunes parce que le fond du problème – et dans un problème il n’y a que le fond qui mérite notre attention – c’est que la France s’est doté d’un enfant pour Roi, un enfant capricieux et arrogant qui n’écoute que sa maman qu’il a épousé. Si nous inventions la démocratie, c’est à dire l’égalité à tous les étages, il n’y aurait pas de haine parce qu’il n’y aurait pas de classes sociales et pas de dégénérés avides de pouvoirs. Si la priorité des priorités était la connaissance, la culture et le savoir, il n’y aurait plus d’amalgame entre les différents courants de pensée mais seulement des joutes enrichissantes. C’est pourquoi je regrette que vous n’ayez pas écouté et regardé Yuja Wang hier sur Arte.  Ce n’est pas la pianiste unique que je veux évoquer, mais la femme libre qui EST musique et qui joue comme elle est dans la vie, avec simplicité, sans-arrière pensée, sans bluff, en se mouvant au-dessus des fariboles de la politiques, des fariboles des journalistes, des fariboles des intellectuels. Elle est femme et libre. A ma connaissance, elle ne joue pas chez Hanouna ou chez Ardisson. Car ceux qui propagent la haine, ce sont ces deux immondes crétins qui subjuguent régulièrement des millions de français. Avant de crier aux loups, réfléchissez !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire