lune
cachée derrière
le
rouge du rideau
qui
descend sur les tombeaux
jette
ta lumière
sur
les chairs gisantes
grises
et terrifiantes
pénètre
leurs corps
de
ton rayon suave
balayant
sa bave
tout
au long du charnier
amoncelé
de cadavres
étendus
sur le marbre
lune
étend ton arme
sur
l’absurde illusion
de
ce monde sans ambition
poèmes improvisés en vers ou parfois en
prose
haG
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