Pourquoi chaque fin d’année doit-elle
se terminer sur deux énormes mensonges qui perturbent dangereusement le
psychisme de l’homme, deux croyances stupides et fallacieuses, deux dénis
préjudiciables pour les cerveaux ramollis. Faire croire, en 2018, que le Père
Noël existe, qu’il passe par une cheminée – pénètre le trou d’un long tuyau
phallique – pour se faire griller les couilles avant de distribuer des jouets
aux enfants sages – conditionnés -, c’est cautionner le mensonge et la position
de l’entre-deux – c’est faux mais je dois dire que c’est vrai -. Faire croire
en 2018, que ce soir on fête l’anniversaire – 24 décembre, 24h – de la
naissance d’un enfant conçu par une adolescente – 14 ou 15 ans, ou moins –
vierge et mariée qui a été violée par un ange, cocufiant ainsi un con d’épousé
nommé Joseph, et que cet enfant est un héros – fils d’un Dieu inventé par la
pensée humaine - qui va sauver la monde, c’est prendre les gens pour des
demeurés, des stupides crétins et des imbéciles irrécupérables. Noël est le
pire jour de l’année, le jour où l’homme met au grand jour son ignorance et
sont plaisir à prendre du plaisir dans les refoulements les plus extrêmes, les
plus crasseux et les plus morbides des grouillements puants de l’inconscient.
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